Le portrait est photographique,
Évoque en lui théophanie.
L’œil, une substance séraphique,
Pointant constante épiphanie.
Lèvres scellées mais éloquentes
En discours cois mais substantiels,
Éclats inertes, héliocanthes
D’une pensée confidentielle.
Qu’anime donc la porcelaine
Couleur vermeille de surface
Qui déborde le cadre en fasce
Et se meut de nulle dégaine?
Son épiderme diaphane
Révèle ce brasier placide,
Ce joyau posé en pyxide,
Que libère un songe hiérophane.
Recherchez (dans les rues de la ville)
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Friday, April 24, 2020
Monday, April 29, 2019
Ça va éventuellement devenir une toune...
Cybèle,
elle est la vie
J’n’arrivais pas à enligner
J’n’arrivais pas à enligner
Deux mots, j’tais ben mal pris
J’la voulais juste dans mes bras
Cybèle, l’est polysémie
Elle couve le monde derrière
Ses yeux, elle est la vie
Je m’fous de ceux qui n’y croient pas
Cybèle, mon silence est cri
Peut-être pas assez fort
M’entends-tu tard la nuit?
J’t’attends encore pour la premièr’ fois
Cybèle, c’est d’la nostalgie
Mais ça me pousse à continuer
De savoir que tu souris
T’es la princesse des aujourd’huis
Elle est rêverie salutaire
Irrévérencieuse sagittaire
Je l’répète, elle est la vie
Elle est l’amour, aussi
J’la voulais juste dans mes bras
Cybèle, l’est polysémie
Elle couve le monde derrière
Ses yeux, elle est la vie
Je m’fous de ceux qui n’y croient pas
Cybèle, mon silence est cri
Peut-être pas assez fort
M’entends-tu tard la nuit?
J’t’attends encore pour la premièr’ fois
Cybèle, c’est d’la nostalgie
Mais ça me pousse à continuer
De savoir que tu souris
T’es la princesse des aujourd’huis
Elle est rêverie salutaire
Irrévérencieuse sagittaire
Je l’répète, elle est la vie
Elle est l’amour, aussi
Cybèle, m’fait passer le pont
À chaque instant, à chaque semaine
En revenant à la maison
J’voulais ses lèvres sur les miennes
Cybèle, je tourne en rond
Ton nom m’fait rire, j’le dis tout l’temps
Ça m’rend heureux, tu as le don
De m'faire sourire, j'fais pu semblant
Cybèle, tu interromps
La charge d’l’histoire, fatalité
D’une gavotte, d’un rigaudon
Tu annonces tout du mois de mai
Cybèle, ils somment ton nom
Dans les églises et dans les temples
Tu es la mère, l’affront
Tu prêches la vie par l’exemple
La mort tu n'saurais qu’en faire
Autr'qu’un tattoo sur ta peau claire
Cybèle tu es la symphonie
Tu es l’amour, tu es la vie
À chaque instant, à chaque semaine
En revenant à la maison
J’voulais ses lèvres sur les miennes
Cybèle, je tourne en rond
Ton nom m’fait rire, j’le dis tout l’temps
Ça m’rend heureux, tu as le don
De m'faire sourire, j'fais pu semblant
Cybèle, tu interromps
La charge d’l’histoire, fatalité
D’une gavotte, d’un rigaudon
Tu annonces tout du mois de mai
Cybèle, ils somment ton nom
Dans les églises et dans les temples
Tu es la mère, l’affront
Tu prêches la vie par l’exemple
La mort tu n'saurais qu’en faire
Autr'qu’un tattoo sur ta peau claire
Cybèle tu es la symphonie
Tu es l’amour, tu es la vie
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